De l’avantage de la visionneuse PDF
Quand on installe un nouvel ordinateur on a tout avantage à installer un programme de lecture de document PDF, par défaut les documents PDF s’affichent directement dans le navigateur Microsoft Edge.

Quelle visionneuse PDF choisir ?

Deux événements sont venus changer les choses :
1 la soudaine lenteur d’ouverture des documents PDF avec Acrobat
Pour une raison que je n’explique pas, le temps d’ouverture de documents Acrobat Reader est devenu anormalement long (entre 10 et 20 secondes), et pour les versions diffusées à partir de l’année 2019
2 la mauvaise prise en charge du tactile par Acrobat Reader
On peut maintenant annoter les documents PDF avec Acrobat Reader, mais le menu est «caché » et la manipulation avec un écran interactif n’est pas aisée.
Je me suis décidé à aller voir ailleurs, et bien m’en a pris puisque les alternatives à Acrobat Reader sont nettement supérieures à ce dernier.
Qu’on se le dise et qu’on se le répète, il y a des alternatives à Acrobat Reader, je vous invite à consulter ce comparatif complet et argumenté sur notre site Internet pour voir de
quoi il retourne :
www.tbi-direct.fr/page/comparaison-3-lecteurs-pdf-testes-sur-ecran-interactif
Dans le domaine du logiciel, la concurrence a du bon et la situation se retourne très vite
On est passé d’une situation de monopole complet de la solution Acrobat Reader à une situation ou Acrobat Reader est devenu l’un des moins bons outils pour lire des fichiers PDF.
L’histoire se répète, de même que Microsoft, en position dominante, a subi des ratés retentissants (Windows Vista et Windows 8; Abode, endormi sur ses lauriers, n’a pas su faire évoluer Acrobat Reader.
Les grands éditeurs de logiciels sont de grands navires qui, malgré leur personnel pléthorique, leurs stratèges et leur héritage, ne savent pas éviter certains écueils… Et pourtant la règle est simple :
Un bon programme informatique doit être rapide et simple à utiliser
Autre raison majeure des échecs de certains programmes pointée par Bill Gates, dans son livre, « la route du futur » et qui explique les échecs d’IBM au tournant de la microinformatique :
« Chez IBM, dès qu’un programmeur est doué, il est orienté vers des fonctions de supervision.. »
Et oui, on a beau dire on a beau faire, mille chansons, mille refrains… On ne fait pas de bons programmes avec de mauvais programmeurs…