Point de vue sur l’avenir des solutions interactives en enseignement

Les dernières décennies ont vu émerger les surfaces interactives comme les Smartboard, qui connurent rapidement un succès notoire. Ils sont notamment présents dans le domaine de l’enseignement. A ce jour, leur succès ne semble aucunement ralentir et de plus en plus d’établissements scolaires ont décroché les tableaux noirs pour les remplacer par des tableaux blancs interactifs ou des vidéoprojecteurs interactifs.
 

Quel avenir doit-on présager pour ces surfaces interactives ?

Plus d’interactivité en perspective

On peut s’attendre à ce que la nouvelle génération de tableau noir gagne encore plus en interactivité à l’avenir, ce qui permettra aux élèves de participer pleinement en cours. Cela correspond à d’autres tendances dans le domaine de l’éducation, comme le modèle de la classe inversée ou l’espace de travail actif.
 

Les constructeurs d’appareils technologiques, créent des surfaces interactives pour toutes sortes d’usages : professionnel, divertissement ou encore enseignement. Cela semble incontournable, au cours de la prochaine décennie, les logiciels interactifs changeront globalement la façon de concevoir le tableau interactif ou ses déclinaison en vidéoprojecteur interactif ou écran tactile dans la salle de classe.
 

Une meilleure exploitation possible avec des logiciels interactifs

Une erreur souvent commise par rapport aux surfaces interactives, c’est qu’elles sont perçues comme une version améliorée des tableaux noirs, et sont utilisés uniquement comme de simples outils d’affichage. Ils permettent à l’enseignant d’écrire, d’afficher des images et de visualiser des vidéos. L’exploitation du côté ludique des surfaces interactives en matière de motivation et implication des élèves, est malheureusement souvent négligée. Il existe d’ailleurs de nouvelles solutions collaboratives qui permettent de connecter différents périphériques au tableau interactif et pouvoir interagir et collaborer à plusieurs.
 

Certains constructeurs ont conçu des logiciels interactifs suscitant la collaboration et le travail en groupe, ils permettent ainsi aux élèves d’interagir sur un tableau blanc interactif TBI depuis leurs appareils mobiles.
 

La marque Mimio offre aux utilisateurs des solutions interactifs les logiciels MimioStudio et Mimio Mobile qui permettent de repousser les limites des expériences interactives possibles sur les solutions d’affichages tactiles Mimio. Ces logiciels sont interopérables avec plusieurs marques de tbi.

Mimio Mobile

tbi-direct présente le MimioMobile, c'est une application pour mobiles (tablettes et smartphone android et ios) qui fournit des fonctions facilitant le travail collaboratif et l’évaluation. Le Mimio Mobile est très intuitif et facile à utiliser pour l’enseignant ainsi que les élèves.

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Les enseignants et les élèves peuvent facilement télécharger des images ou interagir avec le contenu affiché sur le tbi ou l’écran interactif par le biais de leur appareil personnel (smartphone, tablette ou pc portable). En intégrant des appareils personnels à leur tableau ou écran interactif, ces constructeurs créent un moyen pour les enseignants de combiner des méthodes centrées sur l’élève.
 

De plus, bon nombre de ces marques comme Easypitch, ont doté leurs écrans interactifs de la fonction partage d’écran qui permet à plusieurs élèves de projeter l’écran de leur appareil et interagir dessus depuis le grand écran interactif. Les enseignants peuvent créer des leçons qui permettent aux équipes de travailler ensemble.

Encore de belles années devant les écrans interactifs

Il ne fait aucun doute que toutes les salles de classe seront équipées à l’avenir en solutions interactives. Tout comme chaque classe a déjà eu un tableau noir ou un téléviseur, ce genre d’outils devient rapidement une partie essentielle des leçons que les enseignants planifient chaque jour. En créant des outils interactifs qui aident les enseignants à passer à des leçons plus centrées sur l’élève, les développeurs peuvent s’assurer qu’ils ont une longueur d’avance sur la concurrence et qu’ils se taillent une place dans l’industrie.

 
La question se pose alors sur la pérennité des surfaces interactives dans l’éducation ? S’agit-il simplement d’une tendance ou sont-elles là pour rester ?